
«Qui mieux que lui pour porter le coup de grâce? Dans un précédent article, nous faisions état d’une chasse aux sorcières en gestation dans les différentes régies financières gérées par des «hommes» d’Amadou Bâ. En éloignant l’ancien ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, devenu par la grâce d’un remaniement, ministre des Affaires étrangères, le président Macky Sall ralentit la vitesse de rotation d’Amadou Bâ qui risquait de tout chambouler.
Entre en scène Abdoulaye Daouda Diallo aux commandes des Finances et du Budget. Pour la petite histoire, alors qu’il venait d’être démis de ses fonctions de directeur de la Lonase pour son soutien affiché à Macky Sall, à l’époque en froid avec le président Abdoulaye Wade, le tout nouveau argentier de l’Etat s’était vu contraint de retourner à son métier d’inspecteur des Impôts. A la direction générale des impôts et domaines tenue d’une main de fer par… Amadou Bâ himself, Abdoulaye Daouda était confiné dans un bureau où aucun dossier ne lui était confié.
Il suffit d’un feu vert du «patron» et Abdoulaye Daouda Diallo aura une liberté d’action pour démonter son ancien boss», relatait il y a une semaine environ, un article du site Yerimpost titré : «ABDOULAYE DAOUDA DIALLO/AMADOU BA : L’HEURE DE LA REVANCHE A SONNE».
Les choses semblent se préciser davantage. Selon nos informations, Abdoulaye Daouda Diallo, officier supérieur de confiance du général du «Macky» pour avoir longtemps mais loyalement et fidèlement cheminé avec lui, nouvel homme fort des affaires budgétaires et financières du pays, ayant sous sa coupole la fameuse Inspection générale des finances que son prédécesseur avait envoyé dénicher des cafards à la Prodac, va fouiller certains volets de la gestion de ce dernier. D’emblée, il aurait apposé sa signature sous réserve lors de la passation de service, refusant de tout endosser.
Parmi les dossiers qui passeront à la trappe, figureraient les 94 milliards du Tf 1451/R des héritiers de la famille «léboue» de Rufisque, l’indemnisation de Bictogo pour une enveloppe de 10 milliards et d’autres cas de rachat de créances qui font légion, des affectations de terres à des entreprises et tiers par la commission de contrôle des opérations domaniales (CCOD). Même le découpage, le morcellement et les affectations concernant le titre foncier 777/R pourraient être dépoussiérés pour se faire une idée exacte de la gestion du ministre Amadou Bâ à la tête du département de l’Economie, des Finances et du Plan.
Le choix d’Abdoulaye Daouda Diallo pour remplacer Amadou Bâ a suscité plusieurs commentaires. Car voilà deux ministres et inspecteurs des Impôts et Domaines qui ne se piffaient pas du tout. Leurs relations étaient des plus exécrables. Et cela s’est corsé par le fait qu’ils aspiraient tous deux à succéder au Président Sall. Désigner l’un pour remplacer l’autre, semble avoir été fait à dessein et avec des intentions cachées.
Badara SECK Exclusif
Entre en scène Abdoulaye Daouda Diallo aux commandes des Finances et du Budget. Pour la petite histoire, alors qu’il venait d’être démis de ses fonctions de directeur de la Lonase pour son soutien affiché à Macky Sall, à l’époque en froid avec le président Abdoulaye Wade, le tout nouveau argentier de l’Etat s’était vu contraint de retourner à son métier d’inspecteur des Impôts. A la direction générale des impôts et domaines tenue d’une main de fer par… Amadou Bâ himself, Abdoulaye Daouda était confiné dans un bureau où aucun dossier ne lui était confié.
Il suffit d’un feu vert du «patron» et Abdoulaye Daouda Diallo aura une liberté d’action pour démonter son ancien boss», relatait il y a une semaine environ, un article du site Yerimpost titré : «ABDOULAYE DAOUDA DIALLO/AMADOU BA : L’HEURE DE LA REVANCHE A SONNE».
Les choses semblent se préciser davantage. Selon nos informations, Abdoulaye Daouda Diallo, officier supérieur de confiance du général du «Macky» pour avoir longtemps mais loyalement et fidèlement cheminé avec lui, nouvel homme fort des affaires budgétaires et financières du pays, ayant sous sa coupole la fameuse Inspection générale des finances que son prédécesseur avait envoyé dénicher des cafards à la Prodac, va fouiller certains volets de la gestion de ce dernier. D’emblée, il aurait apposé sa signature sous réserve lors de la passation de service, refusant de tout endosser.
Parmi les dossiers qui passeront à la trappe, figureraient les 94 milliards du Tf 1451/R des héritiers de la famille «léboue» de Rufisque, l’indemnisation de Bictogo pour une enveloppe de 10 milliards et d’autres cas de rachat de créances qui font légion, des affectations de terres à des entreprises et tiers par la commission de contrôle des opérations domaniales (CCOD). Même le découpage, le morcellement et les affectations concernant le titre foncier 777/R pourraient être dépoussiérés pour se faire une idée exacte de la gestion du ministre Amadou Bâ à la tête du département de l’Economie, des Finances et du Plan.
Le choix d’Abdoulaye Daouda Diallo pour remplacer Amadou Bâ a suscité plusieurs commentaires. Car voilà deux ministres et inspecteurs des Impôts et Domaines qui ne se piffaient pas du tout. Leurs relations étaient des plus exécrables. Et cela s’est corsé par le fait qu’ils aspiraient tous deux à succéder au Président Sall. Désigner l’un pour remplacer l’autre, semble avoir été fait à dessein et avec des intentions cachées.
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