Plusieurs pays démocratiques ont connu des revers ces dernières années. Il s’agit d’«une récession démocratique mondiale», selon Damon Wilson, à la tête du National Endowment for Democracy (NED).
Sur le rooftop qui domine le cœur de Washington, ville dessinée par le jeune architecte français Pierre Charles L’Enfant, qui rêvait de concevoir une cité démocratique idéale rappelant l’Athènes ancienne, Damon Wilson admire la vue dont jouit le National Endowment for Democracy (NED), la puissante fondation consacrée à la défense de la liberté et de la démocratie dans le monde, dont il vient de devenir le président.
À gauche, la coupole blanche du Congrès, dont dépend le NED, semble immuable, malgré l’effrayant épisode dont elle fut récemment le témoin, quand des hordes de citoyens américains enragés prirent d’assaut le bâtiment. Plus à droite se détache la flèche gracieuse et puissante du Washington Monument. Sur la droite, on devine la Maison-Blanche. Et, juste en contrebas, se dresse la masse de l’Hôtel Trump, acquis par l’ex-président à l’orée de son mandat, et aujourd’hui à la vente.
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Il se dégage du panorama une paix frappante, alors que Damon Wilson vient à peine de prendre ses fonctions
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