
Fini véritablement le temps de la politique politicienne. Fini le temps des calculs pour réduire son opposition à sa plus simple expression. Fini le temps des soupçons liés à de probables liquidations politiques d’adversaires, jugés potentiellement redoutables.
Et pour cause, avec une instabilité permanente qui frappe la zone de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) – avec de nombreux coups d’État –, il est clair qu’il devra travailler au plus haut sommet de la tactique d’intelligence politique, pour épargner le Sénégal de toutes les secousses. Il faut le rappeler, le pays a frôlé le pire au mois de mars 2021, avec des manifestations violentes qui ont occasionné pas moins de quatorze morts et des centaines de blessés.
De ce point de vue, il apparaît claireùent que le Président Macky Sall peut être stressé durant les deux années qui vont sonner la fin de son mandat.
Et pour cause, il a du pain sur la planche face à de brûlants dossiers. Installé il y a tout juste quelques jours, président en exercice de l’Union africaine (Ua), il est fortement attendu dans la résolution de crises multiformes liées à des guerres comme c’est le cas en Éthiopie, le retour de l’ordre constitutionnel dans plusieurs pays tels que le Mali, la Guinée, le Burkina, le Soudan, entre autres.
Il est également attendu dans la résolution de crises au niveau de la région des Grands Lacs (République démocratique du Congo). Non sans tenir compte de la présence terroriste dans le Sahel, les accords en matière de sécurité avec des puissances occidentales, la Russie ou encore la Chine.
Des dossiers source d’un stress permanent dont le Président Macky Sall peut diminuer les chocs. Ceci, en terminant son mandat sous le sceau de l’unité nationale. De ce point de vue, il lui faudra nécessairement s’armer de dialogue, d’ouverture, de démarches diplomatiques et surtout, en allant dans le sens d’éviter au Sénégal une instabilité politique, par la non résolution de la problématique d’une troisième candidature. C’est du stress en…moins !
Tribune
Et pour cause, avec une instabilité permanente qui frappe la zone de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) – avec de nombreux coups d’État –, il est clair qu’il devra travailler au plus haut sommet de la tactique d’intelligence politique, pour épargner le Sénégal de toutes les secousses. Il faut le rappeler, le pays a frôlé le pire au mois de mars 2021, avec des manifestations violentes qui ont occasionné pas moins de quatorze morts et des centaines de blessés.
De ce point de vue, il apparaît claireùent que le Président Macky Sall peut être stressé durant les deux années qui vont sonner la fin de son mandat.
Et pour cause, il a du pain sur la planche face à de brûlants dossiers. Installé il y a tout juste quelques jours, président en exercice de l’Union africaine (Ua), il est fortement attendu dans la résolution de crises multiformes liées à des guerres comme c’est le cas en Éthiopie, le retour de l’ordre constitutionnel dans plusieurs pays tels que le Mali, la Guinée, le Burkina, le Soudan, entre autres.
Il est également attendu dans la résolution de crises au niveau de la région des Grands Lacs (République démocratique du Congo). Non sans tenir compte de la présence terroriste dans le Sahel, les accords en matière de sécurité avec des puissances occidentales, la Russie ou encore la Chine.
Des dossiers source d’un stress permanent dont le Président Macky Sall peut diminuer les chocs. Ceci, en terminant son mandat sous le sceau de l’unité nationale. De ce point de vue, il lui faudra nécessairement s’armer de dialogue, d’ouverture, de démarches diplomatiques et surtout, en allant dans le sens d’éviter au Sénégal une instabilité politique, par la non résolution de la problématique d’une troisième candidature. C’est du stress en…moins !
Tribune
from Leral.net - Sénégal https://ift.tt/PnjZUsY
via gqrds
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire